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Lorn
25 juin 2007

La mémoire...

Re hello!

Et oui, différents oublis depuis : diplome bapteme plongée bouteille (merci les loulous...)

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Aussi celui du niveau 1 Langue des Signes Français (LSF), je vous expliquerais bientot pourquoi...

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Et enfin, genre le meilleur... Pour la paix de l'âme en ce qui concerne ma "position" ici..: à compter du 1er juillet : je suis de nouveau (avis à ceux ki se souviennent...) stagiaire fonctionnaire territorial!

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Vous le saviez? (bcp moins sympa...)

Nouvelle-Calédonie / Santé


Les touristes séropositifs persona non grata en Australie

Première destination de vacances des Calédoniens, l’Australie est en train de durcir son discours sur l’entrée des touristes séropositifs. Plus de cent trente personnes sont directement visées en Calédonie.

Depuis les déclarations du Premier ministre australien Jon Howard, les séropositifs calédoniens sont dans le flou total. Par deux fois, en avril et en mai, Jon Howard a affirmé que les demandeurs de visa, porteurs du VIH, « ne devraient pas être autorisés à rentrer ». Mais aucune révision de la loi n’a encore été faite.
« On ne comprend pas bien ce qu’il envisage de faire. Car les mesures discriminatoires à l’entrée de l’Australie existent depuis longtemps », souligne Dominique Solia, la présidente de Solidarité Sida.
Selon la réglementation en vigueur, tous les demandeurs de visa, y compris les touristes, sont tenus de respecter les critères australiens en matière de santé. Ceci afin de contenir les dépenses publiques et de réduire les risques pour la population australienne, affirme le pays. Depuis 1989, un test de détection du VIH est ainsi obligatoire pour tous les demandeurs de visa permanent, âgés de plus de quinze ans. Pire, en 1995, un couple de séropositifs calédoniens s’était vurefuser les services d’un médecin australien, qui leur avait indiqué qu’il n’était pas possible de soigner les personnes atteintes du Sida.

Des mesures inefficaces

Autant dire que le renforcement des contrôles des bagages à main dans les aéroports ne facilite pas la tâche des séropositifs, pour qui il est de plus en plus difficile de cacher leur maladie. « Pour éviter que leur traitement ne se perde avec les valises laissées en soute, les malades sont obligés de le garder sur eux. Or ces médicaments sont facilement identifiables », précise Dominique Solia.
L’Australie n’est malheureusement pas la seule à pratiquer ces mesures restrictives (lire ci-contre). Sur la centaine de pays qui s’opposent à la libre circulation des personnes séropositives, près de dix leur interdisent l’entrée sur le territoire national.
« Pour le moment, on attend que l’ONU se positionne sur une évolution de la législation, poursuit la présidente de Solidarité Sida. Ces mesures sont dangereuses, inefficaces et humiliantes. Elles poussent les séropositifs à mentir sur leur situation lorsqu’ils remplissent les bulletins distribués dans l’avion. Certaines personnes vont même jusqu’à ne plus se faire dépister. » En Calédonie, cent trente-trois patients séropositifs ne peuvent voyager librement dans le monde.

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Discrimination dans 100 pays

Plus de la moitié des Etats membres de l’ONU appliquent des mesures discriminatoires vis-à-vis de la libre circulation des personnes séropositives. Dans près de dix pays, dont les Etats-Unis, l’Arabie Saoudite ou la Russie, les séropositifs sont tout simplement interdits d’entrer sur le territoire national, même en tant que touristes. Cela ne signifie pas forcément que ces pays appliquent des mesures pour vérifier la séronégativité des arrivants. Mais une découverte de séropositivité conduit à une expulsion immédiate. Dans d’autres pays comme la Syrie, la Jordanie ou le Yémen, un test VIH négatif est obligatoire pour séjourner dans le pays au-delà d’un certain temps.

C.C.

ça craint++.........

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